La Curée Emile Zola lire en ligne

La Curée

Livres, Emile Zola

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La Curée Emile Zola lire en ligne - Un grand auteur, Emile Zola a écrit une belle La Curée livre. Ne vous inquiétez pas, le sujet de La Curée est très intéressant à lire page par page. Le livre a pages 380. Je suis sûr que vous ne vous sentirez pas ennuyeux à lire. Ce livre étonnant est publié par une grande fabrication, Gallimard. La lecture de la La Curée fera plus de plaisir dans votre vie. Vous pourrez profiter de l'idée derrière le contenu. Télécharger La Curée bientôt à votre ordinateur portable facilement.. Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de La Curée pour votre référence.

de Emile Zola

4 étoiles sur 5 (786 Commentaires client)

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Book by Emile ZolaRang parmi les ventes Amazon: #19743 dans LivresMarque: Brand: Schoenhofs Foreign BooksPublié le: 1999-09-14Langue d'origine: FrançaisNombre d'articles: 1Dimensions: 6.90" h x .80" l x 4.30" L, .45 livres Reliure: Broché380 pagesPrésentation de l'éditeurLa France de Napoléon III vue par Zola:«À cette heure, Paris offrait, pour un homme comme Aristide Saccard, le plus intéressant des spectacles. L'Empire venait d'être proclamé... Le silence s'était fait à la tribune et dans les journaux. La société, sauvée encore une fois, se félicitait, se reposait, faisait la grasse matinée, maintenant qu'un gouvernement fort la protégeait et lui ôtait jusqu'au souci de penser et de régler ses affaires. La grande préoccupation de la société était de savoir à quels amusements elle allait tuer le temps. Selon l'heureuse expression d'Eugène Rougon, Paris se mettait à table et rêvait gaudriole au dessert... L'Empire allait faire de Paris le mauvais lieu de l'Europe.»Quatrième de couvertureLa France de Napoléon III vue par Zola : " A cette heure, Paris offrait, pour un homme comme Aristide Saccard, le plus intéressant des spectacles. L'Empire venait d'être proclamé... Le silence s'était fait à la tribune et dans les journaux. La société, sauvée encore une fois, se félicitait, se reposait, faisait la grasse matinée, maintenant qu'un gouvernement fort la protégeait et lui ôtait jusqu'au souci de penser et de régler ses affaires. La grande préoccupation de la société était de savoir à quels amusements elle allait tuer le temps. Selon l'heureuse expression d'Eugène Rougon, Paris se mettait à table et rêvait gaudriole au dessert... L'Empire allait faire de Paris le mauvais lieu de l'Europe. "Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur La Curée. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.

5 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile.Un roman complexePar Belette-CityLe lecteur qui connaît bien Zola n'aura pas été surpris par le style, toujours soigné, riche et précis. En certains endroits, on retrouve quelques phrases écrites par Flaubert, dans Madame Bovary, ou des tournures similaires. Laissons le style pour la forme, pour son sujet.Roman complexe car La Curée peint les débordements de toute une Société qui semble être, toutes classes confondues, animée des mêmes vices qui détruisent l'équilibre d'une honnête famille. L'argent et le besoin de puissance dominent tout, et aucun scrupule ne s'empare du héros romanesque (Aristide Saccard) pour faire fortune, quitte à ruiner sa propre épouse (Renée) qui lui a pourtant permis, grâce à sa dot, de brûler quelques étapes. A cette emprise de puissance, de notoriété, à cette soif de posséder le plus d'immeubles et d'affaires possibles, s'ajoute le besoin de faire la fête, l'appétit de chacun pour les plaisirs faciles, le goût du luxe pour les toilettes et les bijoux les plus coûteux ; ainsi le célèbre couturier de l'époque, Worth, se retrouve-il dans le roman sous le nom d'emprunt de Worms, et pare Renée des plus belles toilettes)...Zola va plus loin encore en voulant montrer que la Curée est le roman de l'orgie de cette époque. Cependant dire de ce roman qu'il est un roman de l'inceste serait aller un peu loin tout de même, il faut simplement y voir le débordement des sens poussé à l'extrême de Renée, joint au manque de maturité le plus grand de la part du jeune homme qui n'est pas capable de résister au charme de sa belle-mère. Mais Maxime et Renée semblent vivre en dehors de toute convention, de toute morale. Chaque personnage, d'ailleurs, se trouve comme emporté dans une grande spirale, ne voyant que son propre plaisir, que sa propre satisfaction. Pour Zola, il s'agit une fois de plus de montrer comment un tempérament enclin à telle ou telle faiblesse finit par dégénérer au point de se détruire lui-même ou de détruire des membres de sa propre famille.Sans doute Zola avait-il de la nostalgie pour cet ancien Paris qui peu à peu était détruit et remplacé par de grandes avenues et de splendides immeubles. Cette urbanisation destructrice, en quelque sorte, qui avait en écho une destruction de la morale de la société tout entière, toutes classes confondues, un relâchement des moeurs et une trop grande familiarité au sein même d'une famille, ces profonds bouleversements lui rappelaient, sans aucun doute, le spectre de la Révolution de 1789, abolissant toutes les barrières et toutes les conventions.Un roman toujours d'actualité.

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